Les Pelicans surclassent les Bulls dans un festival offensif
New Orleans s’impose 143-130 face à Chicago dans un match intense au United Center. La rencontre a été marquée par une adresse remarquable, notamment à trois points, et une domination au rebond des visiteurs.
Le film du match
Le match débute sur un rythme élevé avec les Pelicans qui prennent rapidement les devants grâce à un collectif performant et une production offensive équilibrée. Les Bulls répondent par Ayo Dosunmu, auteur de 28 points avec un exceptionnel 68.8% au tir, mais peinent à contenir la puissance offensive de New Orleans, emmenée par Zion Williamson et Saddiq Bey. Chaque quart-temps est disputé, mais New Orleans garde toujours une légère avance, profitant notamment de leur solide présence au rebond (55 au total) et d’une meilleure gestion des pertes de balle.
Les tops et les flops
Joueur du match
Zion Williamson a été le moteur des Pelicans, avec 29 points (57.1% au tir), 1 contre, 2 interceptions, et un excellent 13/16 aux lancers francs à 81.3%. Son apport offensif a été décisif dans la victoire, notamment dans les moments chauds, dominants dans la peinture et créant des décalages.
Les tops du match
- Saddiq Bey : 20 points à 50% au tir, 13 rebonds, 3 passes et 2 interceptions, un véritable couteau suisse sur le terrain.
- Trey Murphy III : 20 points avec un très bon 40% à trois points, 4 passes et 2 interceptions, facteur X dans la dynamique offensive des Pelicans.
- Ayo Dosunmu : 28 points à 68.8%, 2 paniers à trois points, la star des Bulls bien que son équipe ait souffert défensivement.
- Jose Alvarado : 16 points, 8 passes et 8 rebonds, le meneur a su diriger l’attaque de son équipe malgré une défense parfois en difficulté.
Les flops du match
Patrick Williams a pesé sur le collectif des Bulls avec seulement 6 points à 22.2% de réussite au tir, 4 rebonds et un +/- négatif -7. Son manque d’efficacité a pesé dans la rotation défensive.
Tournants du match
- La réussite extérieure des Pelicans, qui ont shooté à 37.1% à 3 points, leur a permis de maintenir et creuser l’écart dans les 3e et 4e quart-temps.
- La domination au rebond de New Orleans avec 55 prises cumulées (19 offensifs) a offert de nombreuses secondes chances et contrôlé le tempo.
- La gestion des pertes de balle : 10 pour New Orleans contre 17 pour Chicago, a joué un rôle clé dans le différentiel de possession et de points rapides.
Analyse tactique
New Orleans s’est imposé grâce à un jeu très fluide en transition et une exploitation efficace du pick-and-roll, notamment autour de Zion Williamson et Saddiq Bey. Leur présence au rebond offensif a augmenté la pression sur Chicago, qui a eu du mal à défendre sur plusieurs lignes de passe. Les Bulls, malgré une ligne arrière talentueuse, ont été freinés par un nombre trop élevé de pertes de balle et un second rideau insuffisamment organisé défensivement, comme le montre leur faible nombre de rebonds défensifs (29 contre 36 aux Pelicans). Le jeu collectif des Pelicans s’est aussi illustré par une meilleure répartition des passes (28 contre 29) et une discipline en attaque.
Les chiffres du match
| Statistique | Meilleur Joueur | Valeur | Meilleur Joueur | Valeur |
|---|---|---|---|---|
| Points | Zion Williamson | 29 | Ayo Dosunmu | 28 |
| Rebonds | Saddiq Bey | 13 | J. Giddey | 7 |
| Passes décisives | Jose Alvarado | 8 | Tre Jones | 11 |
| Interceptions | Micah Peavy | 4 | Donnée non disponible | – |
| Contres | Yves Missi | 3 | Donnée non disponible | – |
| Pourcentage 3P | Jeremiah Fears | 66.7% | Jalen Smith | 60.0% |
| Tirs en jeu (FG%) | Yves Missi | 63.6% | Ayo Dosunmu | 68.8% |
| Fautes | Donnée non disponible | – | Donnée non disponible | – |
| Perte de balle | Saddiq Bey | 0 | Ayo Dosunmu | 1 |
| Total rebonds équipe | New Orleans | 55 | Chicago | 33 |
| Points en contre-attaque | Chicago | 21 | New Orleans | 17 |
| Fautes totales | New Orleans | 21 | Chicago | 21 |
| Turnovers | New Orleans | 10 | Chicago | 17 |
Conclusion
New Orleans a livré une prestation collective impressionnante, avec des leaders solides et une attaque dévastatrice. Chicago, malgré les efforts de Dosunmu, n’a pas réussi à contenir la dynamique adverse, notamment sous les panneaux.
