Les Pacers dominent les Bulls malgré la performance de Pascal Siakam
Indiana a remporté ce match intense à domicile contre Chicago sur le score de 120-105. Malgré un excellent Pascal Siakam, auteur de 36 points, ce sont les Pacers qui ont su imposer leur rythme et sortir vainqueurs.
Le film du match
Le match démarre tambour battant avec une intensité offensive élevée. Indiana pose son jeu d’entrée avec une belle répartition des tirs, terminant le premier quart temps avec 30 points contre 33 pour Chicago. Les Bulls, malgré une nette domination au rebond défensif, peinent à contenir la précision extérieure adverse. Pascal Siakam brille avec un pourcentage remarquable, notamment à trois points (5/7). Chicago peine à garder son avance, encaissant les 32 points du deuxième quart, trop peu pour contenir l’efficacité des visiteurs. Indiana continue sur sa lancée en seconde mi-temps, avec une défense appliquée et une attaque versatile. Les Bulls voient leur avance fondre peu à peu tandis que les Pacers prennent le contrôle du jeu jusqu’à sceller le sort du match en fin de rencontre.
Les tops et les flops
Joueur du match
Pascal Siakam a été le moteur offensif des Bulls, inscrivant 36 points à 54,2 % de réussite au tir, dont un impressionnant 5/7 à trois points, et complété par 10 rebonds. Avec 2 interceptions et une présence constante, il a été le principal artisan offensif de Chicago, même si son équipe s’incline.
Les tops du match
- Matas Buzelis (IND): 19 points à 62,5 % au tir, 12 rebonds, ainsi qu’une présence défensive et offensive complète malgré ses 6 pertes de balle.
- Bennedict Mathurin (CHI): 28 points, dont 6 paniers à trois points sur 11 tentatives, avec une excellente maîtrise offensive et 5 rebonds.
- Jay Huff (CHI): 11 points à 80 % au tir et un impact défensif fort avec 5 contres, aidant Chicago à rester compétitif défensivement.
- Jevon Carter (IND): 14 points dont 4 tirs longue distance, une défense active avec 1 interception, et peu de pertes de balle.
Les flops du match
Josh Giddey (IND): Malgré un temps de jeu élevé, seulement 9 points à 22,2 % au tir, avec 5 pertes de balle, ce qui a pesé sur la fluidité offensive des Pacers.
Tournants du match
- La forte première moitié des Pacers où ils inscrivent 62 points au total, imposant leur rythme offensif.
- La performance au shoot extérieur de Pascal Siakam qui maintient Chicago proche au tableau d’affichage malgré le déficit au rebond.
- Les nombreuses pertes de balle de Chicago (18) qui ont permis à Indiana de capitaliser en transition et de creuser l’écart.
Analyse tactique
Indiana a dominé dans la gestion du rebond défensif avec 46 prises totales contre 35 pour Chicago, limitant ainsi les secondes chances pour l’adversaire. Offensivement, ils ont été efficaces avec 13 paniers à trois points réussis sur 35 tentatives. Leur transition rapide couplée à un jeu de pick-and-roll efficace a perturbé la défense des Bulls. Chicago s’est appuyé sur une attaque plus équilibrée avec un excellent pourcentage au tir de l’arrière et de l’ailier. Cependant, leurs 18 pertes de balle ont compromis leurs séquences offensives. Defensivement, Chicago a réussi 13 interceptions contre 7 pour Indiana et 8 contres contre 2 côté Pacers, mais cela n’a pas suffi à contenir l’efficacité collective des visiteurs.
Les chiffres du match
| Statistique | Meilleur joueur | Valeur |
|---|---|---|
| Points | Pascal Siakam (CHI) | 36 |
| Rebonds | Matas Buzelis (IND) | 12 |
| Passes décisives | Andrew Nembhard (CHI) | 7 |
| Interceptions | Tied (CHI) | 3 |
| Contres | Jay Huff (CHI) | 5 |
| Taux de réussite aux tirs | Jay Huff (CHI) | 80.0 % |
| Statistique | Indiana Pacers | Chicago Bulls |
|---|---|---|
| Points | 120 | 105 |
| Pourcentage field goal | 44.2 % | 53.6 % |
| 3 points réussis | 13/35 (37.1 %) | 18/39 (46.2 %) |
| Rebonds totaux | 46 | 35 |
| Pertes de balle | 18 | 13 |
| Passes décisives | 21 | 24 |
| Interceptions | 7 | 13 |
| Contres | 2 | 8 |
Conclusion
Indiana a su capitaliser sur sa domination au rebond et limiter les erreurs pour s’imposer face à des Bulls puissants offensivement mais trop irréguliers défensivement. Ce succès illustre la nécessité pour Chicago de travailler sa discipline pour mieux convertir son potentiel.